J’aimais cet homme qui chantait les fleuves
Il avait en lui quelque chose
que les autres n’ont pas,
Il avait une tragédie déguisée en paradis,
un air de fête pour masquer le chagrin,
comme tache d’huile lentement
saupoudrant la mer…
un amalgame des couleurs
sur ses pages blanches sans poèmes,
et l’envie de voler.
il avait en lui
l’écho de l’histoire
qui a habillé son temps
il avait en lui le rire clair de l’eau,
la solitude longue des marins et
le regard de celui qui nous capture en partant.
Sabag, palabras escapándose.