La femme s'est en prison de si même
La prison chante avec tous les souris
Qui s'enlace au tour de Gabriel Fauré
La Pavane que j'aime
et elle aussi un mimi de personne.
Une fils perdu à la guerre.
Que dieu que je ne crois pas en toi
comprends la beauté de la partie
pour un destine qui, sans un lac gelée a la fin,
est un fin de finitudes qu'ouvrent les portes au poète.
Et cherche la mort de la joie.
Les bruits de la rue sont tristes,
Ou sont bruits tout court ?
Nos le devrons répondre en chanson.
- Autor: Mera Gente (Seudónimo) ( Offline)
- Publicado: 4 de diciembre de 2013 a las 06:37
- Categoría: Cuento
- Lecturas: 32
- Usuarios favoritos de este poema: Mis Sentimientos, El Hombre de la Rosa
Comentarios2
C'est une belle histoire, même aussi une belle réflexion.
Gracias.
Hermosa y placida ha sido la lectura de tu gran poema en frances amigo Mera Gente
Saludos de amistad de Críspulo
Para poder comentar y calificar este poema, debes estar registrad@. Regístrate aquí o si ya estás registrad@, logueate aquí.