Aux moment des bonheurs, A.

K VELASCO 95

J’ai toujours aimée la narrative et les textes romantiques mais pas tous les poèmes, cependant, chaque phrase que je trouve, que je lis ou même que je formule dans ma tête à propos de l’amour c’est pour toi, peu importe que tu ne sois pas sûre de vouloir être à mes côtés ou que j’ai énormément souffert pour toi (bon, je l’ai fait à cause de notre amour accroché).

 

Ce mardi dans ma classe de littérature on a lu un extrait de « Petit Pays », un Roman de Gaèl FAYE qui a écrit en 2016. Et alors, je commence à nous écrire, à nous dessiner avec ses mots…

 

Je ne connaîtrai jamais les véritables raisons de notre séparation. Il devait pourtant y avoir des profonds problèmes ou inquiétudes pour ruiner cette relation si unique. Ce profond sentiment qu’avait vaincre la distance et le temps, qu’avait traversé l'Atlantique, cet amour qui avait effacé mon idée de l’impossibilité de l’amour à distance.

 

À cette époque-là, j’étais si amoureuse de toi que personne n’arrivait à ta cheville, et penser que tu t’inquiétais beaucoup aux autrEs! Alors que moi, je te trouvais si belle, si sexy, si charmante, si drôle, si intéressante, si poétique ! Le bonheur sifflotait des airs de cha-cha-cha sous un ciel étincelé le jour que tu as touché territoire française. C’était tout résolu ! Il y avait plus qu’à AIMER, à VIVRE, à RIRE, à PROFITER, à EXISTER. Je n’étais plus paumé dans un autre pays où je ne connaissais personne (ou au moins pas vraiment), où je me sentais incompris où j’avais besoin de partager ou raconter chaque instant à ma personne favorite, ma personne favorite tant aimée.

 

Mais à un moment donné le cloche avait sonné, le réel s’est imposé. Rude. Féroce. Perturbé. Je n’oserais pas dire que le désire l’ai gagné à l’amour sinon que toute la poussière gardée sous ton tapis était sortie et elle avait volé à cause du vent venant d’une nouvelle porte ouverte qu’a entrevu tes yeux.

 

Mais au temps d’avant, avant tout ça, avant ce pénible incident, c’était le bonheur, la vie sans se l’expliquer. L’existence était telle qu’elle était, telle qu’elle avait toujours été et que je voulais qu’elle reste. Aux journées plaines des détails écris et colles sur le mûres de notre tanière, aux lectures intéressantes allongé sur l'herbe qui nous faisait discuter de ceci et de cela, et au même temps qu’elles faisaient m’émerveiller de ta pensée si critique.

 

Aux moments du soir, sans moustique qui vient danser à l’oreille, sans cette pluie trident qui pouvait tambouriner nôtres rêves, sans angoisse ni manque de rien. On avait un doux sommeil, serein, profond. C’était ma partie favorite de toute la journée, parce que tu étais là, à mes côtés en vouloir me protéger de l'extérieur. Je me souviens très bien de ceux soirées quand tes bras m’entourent, ils étaient si solides comme une carapace de tortue mais aux mêmes temps si doux que le pelage de Danna. Mais quelle sensation autant agréable quand je fermais mes yeux et j’oubliais tout, où je te faisais confiance de mon amour, dans ces moments où je t’ai confié ma vie.

 

Et je n'ai pas beaucoup plus qu'à trinquer, au temps de bonheur, à ces beaux moments ou ma pensé s’avait arrêter de douter parce que je ne pensais qu'à t'aimer. Le bonheur, ça t’évite de réfléchir mais, comment oser à le faire si on était si heureuse toutes les deux ? Partager mes jours avec toi, était comme un paradis par terre.

  • Autor: K VELASCO 95 (Offline Offline)
  • Publicado: 11 de noviembre de 2020 a las 18:36
  • Categoría: Sin clasificar
  • Lecturas: 25
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